L’autotraduction comme malheureuse nécessité : le cas de La Maculée/sTain de Madeleine Blais-Dahlem

par Paola Puccini
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Cette étude analyse l’édition de La Maculée/sTain publiée en 2012, qui contient la pièce de Madeleine Blais-Dahlem dans sa double version, l’original en français et l’autotraduction en anglais, avec des paratextes distincts. Le but est d’examiner d’abord les éléments qui indiquent un déplacement ou un mouvement de la version française à la version anglaise ; ensuite les éléments qui dessinent un mouvement contraire, de la version anglaise à la française ; enfin l’analyse approfondit l’aspect d’un nouvel espace créé par le croisement de ces deux mouvements opposés.
Mots-clés : Autotraduction, Blais-Dahlem, Maculée, sTain, bilingue.

DOI: 10.17457/IF6_2015/PUC2