Gianna Patriarca
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En réfléchissant sur son travail poétique, Patriarca souligne comment la langue anglaise, devenue sa langue maternelle, n’est pas la seule à nourrir ses émotions, ses pensées et ses idées mais il y a aussi les sons du ciociaro (sa première langue) et de l’italien. La langue de ses poèmes constitue donc la trilogie d’une langue. La traduction de certains poèmes d’une langue à l’autre, du ciociaro à l’anglais, par exemple, crée des effets particuliers qui changent la perception du lecteur et de l’auteure elle-même.
Mots-clés : Patriarca, poésie, ciociaro, anglais, italien.
DOI: 10.17457/IF6_2015/PAT